Parallèlement à ma formation universitaire en Psychologie (Université Paris Descartes, Paris V), j'ai entrepris une formation psychanalytique en 1995, avec le Dr Jean Begoin (neuropsychiatre et psychanalyste, membre de la Société Psychanalytique de Paris, connu pour avoir contribué à introduire la pensée kleinienne en France).

Indépendamment de la cure psychanalytique classique, je me suis formée aux États-Unis à des traitements thérapeutiques plus courts d'orientation psychanalytique comme la psychothérapie psychanalytique brève et la psychothérapie dite focale (conçue par Michael Balint, élève de Sandor Ferenczi).

Je suis certifiée en Sexologie Clinique fonctionnelle ainsi qu'en Sexoanalyse (thérapie appliquée aux troubles sexuels), cette dernière étant fondée sur une approche psychanalytique de la sexologie clinique.

Cette étude de l'inconscient sexuel (et ses applications cliniques) permet de découvrir les conflits sexuels et les anxiétés inconscientes dont le trouble sexuel est porteur.

La théorie psychanalytique est l’une des sources naturelles de la connaissance en sexologie et on lui doit d'avoir fait prendre conscience au monde occidental de la réalité d'un monde sexué : “On peut considérer la psychanalyse comme modèle d’un savoir sexologique” (Georges Abraham - "Psychanalyse et thérapies sexologiques" 1978).

​

Psychanalyste et sexologue clinicienne tournée vers le couple, je m'intéresse plus largement aux mécanismes conscients et inconscients du désir sexuel et de l'érotisme au sein des relations sentimentales ainsi qu'aux conduites relationnelles dysfonctionnelles (manipulation, humiliation, agressivité d’un des conjoints, etc…).

Je me consacre également aux bouleversements majeurs que rencontrent les couples (familles recomposées, infidélités, déclin progressif du lien conjugal, perte du désir érotique ou absence de libido sexuelle…) mais également aux problématiques liées à la difficulté que rencontrent certaines personnes à établir une relation affective avec autrui.



Après avoir vécu et exercé aux États-Unis (Seattle), j'ai mis en place un service de consultations en ligne (par vidéo) pour les personnes expatriées ou résidant loin du cabinet à Paris.​

Que ce soit en cabinet ou par le biais de la vidéo, c'est avec empathie et beaucoup de bienveillance que j'aborde la relation thérapeutique qui s'instaure avec la personne qui me confie ses difficultés et ses blessures, car comme l'évoque Serge Tisseron "le thérapeute qui fait preuve d’une attitude empathique permet que se mette en place une situation dans laquelle son patient commence à se donner des représentations de ses traumatismes passés sans crainte de s’y retrouver seul".

​​

Ma priorité clinique ? Soutenir l'Être humain en recherche de changement ou en souffrance et lui signifier qu'en joignant son humanité à la mienne, il n'est plus seul.